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Saint-Louis 30 mars 2024

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Saint-Louis  30 mars 2024 Empty Saint-Louis 30 mars 2024

Message par Sébastien Vanier Sam 30 Mar 2024 - 10:50

Des jours et des nuits insoutenables s’enchaînèrent. Une spirale de sons et de lumières causée par cette énergie localisée au milieu du front et par Saint-Louis qui avait fait de la présence de Joseph son occupation quotidienne. Joseph avait pris l’habitude de se promener dans son quartier pour l’aider à s’endormir. Il portait presque toujours son casque de musique. La musique l’aidait à se couper des stimuli du monde extérieur et le relaxait. Un soir, alors qu’il passait devant un bar de la vieille ville, il décida d’y entrer pour prendre un verre. Il n’avait pas réfléchi très loin car une fois la bière commandée, il prit conscience que l’endroit était bondé et qu’il y avait de la musique. Par chance, la musique n’était pas rythmée. C’était un blues avec des accords simples, un rythme lent, une ambiance lascive. Saint-Louis savait que Joseph était dans la vieille ville : il sentait le poids de la présence de Joseph. Il susurra à l’oreille d’Eugène l’envie d’aller prendre l’air et une fois dans les rues, il le dirigea jusqu’au bar où il l’intima de rentrer pour prendre un verre.
Le serveur vînt près de Joseph pour changer la musique. Joseph regarda l’horloge, il était vingt-trois heures et l’ambiance de lounge se transformait maintenant en discothèque. Eugène s’installa au bar et Saint-Louis commença à tournoyer autour de Joseph qui se sentait agressé par la musique. Il la sentait tournoyer autour de lui et avait peur de la diriger vers les gens autour. L’idée lui vînt alors de la diriger dans les verres suspendus au bar. La musique était rapide et il commença bientôt à manquer de verre à viser. Puis, sans intension, il demanda :

- (Qu’est-ce que c’est ?)

Pris de court, Saint-Louis répondit par la musique et au-travers d’elle :

- DE LA VITRE !!!

Joseph avait clairement entendu au travers de la cacophonie des sons une voix masculine crier : « DE LA VITRE !!! ». Il laissa son verre sur le champ et se dirigea rapidement vers la sortie le cœur affolé.

- (Elle a répondu !! La musique a répondue !!)

Joseph enfila son casque de musique et tenta d’étouffer ses réflexions lorsqu’il entendis les instruments parler. Les cuivres étaient particulièrement faciles à entendre. Il enleva aussitôt son casque. Il s’engouffra alors dans le parc pour tenter de se calmer. Il sentait son cœur se débattre. Il avait peur, terriblement peur.

- (Mais qu’est-ce qui m’arrive ? Qu’est-ce qui m’arrive ?)
- (J’entends tout.)
- (Il n’y a aucun moyen d’y échapper.)
- AUCUN !!!

Et pour la première fois de sa vie, il laissa ses émotions s’exprimer en un cri de désespoir et de fureur…Un cri qui perça la nuit du parc, un cri au travers de son âme, un cri qui sommeillait depuis l’éclosion de ses ailes. Il fondit en larme. Une automobile qui passait s’arrêta. Un homme sorti pour me demander si tout allait bien. Il se releva, prenant conscience de sa situation et lui dis que tout allait bien. Il rentra à la maison.
S’installant sur le divan, Suzanne vînt lui dire bonsoir. Elle s’installa sur sa poitrine mais Joseph la replaça à mes côtés. Elle eut un petit gémissement et remonta sur sa poitrine. Elle semblait comprendre sa tristesse. Elle s’engouffra le nez au travers sa chemise et il se remit à sangloter de plus belle. Joseph cajola Suzanne et eut un petit rire de réconfort et Suzanne se mît à ronronner.
Alors qu’il la caressait, il l’écoutait ronronner tout doucement :

- RrrrrwwwrrrrwwwrrrraaaawwwwwOUIrrrr…
- ( !!! )

Joseph devint lucide en un instant. Il écouta de nouveau :

- RrrrrwwwwOUIwwwrrrrrENCORErrrrwwwww…

Elle dû le sentir se raidir.

- RrrrwwwOOOrrrwwwTUrrrPARRRLErrrCHATwwwrrrr

Elle parlait !! Et Joseph la comprenait !! Il eut un éclat de rire et il tenta de ronronner à son tour pour parler chat. Elle me regarda droit dans les yeux et pour la première fois, il su qu’elle le comprenait, qu’il avait un être sensible et intelligent devant lui. Ses yeux le regardaient comme une vraie personne. Elle ne se contentait pas de le voir, elle le regardait dans les yeux. C’est alors que Joseph remarqua que ses yeux avaient changés de couleur. Il y avait une partie de l’œil qui était devenu d’un vert argenté et d’une texture cristalline.

Il plaça sa main sur ces yeux, fermai les siens et ils restèrent ainsi, l’un et l’autre, ensemble. Il se remit à la cajoler, elle se remit à ronronner. Elle replaça son nez dans sa chemise pour se blottir lorsqu’il l’entendit de nouveau ronronner.

- T’es profond toi...et tu nous laisses jouer. C’est pour ça que je t’ai choisi.

Il ne comprenait pas ce qu’elle voulait dire, mais il appréciait l’entendre dire qu’il était choisi pour quelque chose, que ce qui lui arrivait avait un sens et qu’il devait rester patient pour que celui-ci se révèle. Joseph avait toujours cette pression autour de la tête tel un bandeau que l’on a porté trop longtemps et que l’on continu de ressentir une fois enlevé. Ils s’endormirent quand même ainsi sur le divan.

Joseph se réveilla le lendemain avec la ferme intention de trouver une logique à ce qui lui arrivait. S’il ne pouvait voir le sens, peut-être pourrait-il trouver une certaine logique qui lui permettrait de se projeter dans l’avenir et de me rêver de nouveau.

Il remonta jusqu’à l’éclosion de ses ailes, là où tout avait commencé, à l’université, ou plutôt là où tout s’était arrêté. Peut-être fallait-il qu’il continu ce qu’il avait commencé. Ce qui l’avait conduit à être ce qu’il était devenu n’avait-il pas encore tout son sens ? Il était parvenu à un point de maturité et maintenant, il fallait qu’il puisse continuer sur cette voie. Il lui fallait faire quelque chose de concret. Il commença par retrouver ses travaux universitaires pour se remémorer l’état d’esprit dans lequel il était et qu’elles étaient les idées qui l’habitaient alors. N’est-il pas dit que si l’on ne sait pas d’où l’on vient, comment peut-on savoir où l’on va ?

Il avait passé la soirée à lire et il avait la tête lourde, il était fatigué, il voulait dormir, mais lorsqu’il fermait les yeux, il y avait cette lumière qui le gardait éveillé. Il plaça alors un disque dans l’ordinateur. Une fenêtre s’ouvrit à l’écran et il appuya sur le bouton lecture. Un flot de forme et de couleur se fit sur l’écran et il resta à le regarder. Plus il le regardait, plus il se sentait bien. La pression à la tête se dissipa tranquillement. C’était relaxant et apaisant à regarder. Il venait de trouver un remède à la suractivité de son cerveau.

Joseph recommença à étudier et le goût de la lecture revînt. Il commença aussi à prendre des temps de relaxation devant l’écran de l’ordinateur. Le soir, surtout, quand il n’arrivait pas à dormir, il se laissait bercer par le flot de couleur de l’écran d’ordinateur. Mais l’activité lumineuse alla en augmentant. Il fermait les yeux et tout était blanc baignant dans une couleur diaphane dorée. Fatigué et cherchant une solution, il ferma les yeux fort, très fort. Il força ses paupières jusqu’à les sentir picoter. Une forte intensité lumineuse se fit au niveau de ses yeux, puis dans l’hémisphère droit de mon cerveau. D’un coup, la lumière s’éteignit et il fut devant un paysage feutré jaune et rose. Il flottait au-dessus de l’eau et il voyait la rive. Il parcouru le paysage et cru voir un arbre de lumière dorée. Saint-Louis, prisonnier d’Eugène, sentait une agitation inconnue et il sentait qu’il allait perdre son territoire. Il puisa dans toutes ses forces et cria un “NON” de l’Esprit qui retentit à des kilomètres à la ronde.

Dans un craquement sonore, Joseph sentit s’enfoncer dans mon hémisphère gauche une épée et sentit sa boîte crânienne se fendre en de multiples veines. Il prit sa tête entre ses mains mais le mal s’arrêta rapidement. Il remarqua aussitôt qu’il n'avait plus de pensées du côté droit : un vide. Il ferma les yeux ; une activité du côté gauche seulement. Il prit rapidement son casque d’écoute ; il n’arrivait plus à percevoir la musique de son côté droit. Avant de paniquer, il appela Suzanne. Il avait de la difficulté à entendre la musique. Tout ce qu’il entendait était son cœur. Il remarqua alors qu’il entendait la musique normalement, sans technique du son.

Il alla dans sa chambre et s’étendit au côté de Suzanne. Il écoutait la musique et il sentait enfin qu’il pouvait relaxer et que le sommeil le gagnait finalement ; effrayé, inquiet, mais confiant…

- (On verra.)

Alors qu’il s’endormait, il sentit l’énergie au milieu de son front s’intensifier. Il ouvrit les yeux et un vent astral parti de son front pour atteindre le mur. Il y eut sur le mur des vagues telles une pierre jetée dans l’eau. Lorsque les vagues se calmèrent, il sentit une cristallisation au niveau de son front. L’énergie se transforma en une pierre précieuse, tel un rubis. Lentement, il sentit le joyau se détacher de son front dans une sensation aussi douce qu’un pétale de fleur qui se décolle d’une peau humide. La pierre se détacha de son front et il l’entendit tomber dans son matelas dans un son clair et aigu. Pour la première fois depuis plus d’une année, il n’avait plus cette désagréable sensation de feu au niveau du front.

Il était émerveillé par la découverte du joyau et du pétale. Toutes ces histoires de bouddhisme sur les joyaux et les fleurs de lotus venaient de se concrétiser et d’être validés. Il se leva comme s’il avait déjà dormi et commença à chercher des informations sur le bouddhisme. Il ne se calma que tard dans la nuit et il put enfin s’endormir sans lumière, dans une obscurité absolue, calme, réconfortante.
Au matin, Joseph s’installa pour fumer son déjeuner. Il vit Suzanne qui commençait à manger avec entrain. Il alla vers elle pour une caresse matinale.

- Salut Sue.

Il entendit alors une petite voix féminine toute menue qui lui répondit :

- [(Salut!!)]

Il était encore endormi mais il se versa un café tout en souriant.

- (Alors qu’elle m’a choisi ?)
- (Je ne sais pourquoi.)
- (Mais il est vrai qu’elle est apparue de nulle part.)
- (Et quel est ce jeu auquel elle joue ?)
- (À capturer le son ?)
- (Mais elle a bien dit « tu nous laisses jouer ».)
- (Elle ne joue donc pas seule…)

Il entreprit de l’observer un peu plus pour comprendre son jeu. Comme il s’apprêtait à commencer l’expérience, il remarqua Suzanne qui venait de s’allonger non loin de lui.

- (Et zut !!)
- (Elle ne doit pas jouer en dormant.)

Il continua donc ses recherches sur le web. Selon l’Université Bouddhique Européenne en ligne, il existe trois types de Bouddha. Le terme « buddha » est un terme qualificatif qui ne désigne pas une nature en soi, mais désigne plutôt une expérience, un jalon, un but atteint, celui de l’éveil ; la « buddhi ». Il ne s’agit pas d’un savoir mais d’une expérience vécue. « Les textes anciens diront à son propos qu’elle est "au-delà du raisonnement, accessible aux seuls sages en eux-mêmes", ou encore qu’elle est "réalisée dans l’intériorité, à part de toute croyance, inclination, connaissance par ouï-dire, opinion ou réflexion". La tradition bouddhique distingue donc trois sortes de bouddha. Il y a d’abord ceux désignés comme auditeurs qui atteignent l’éveil avec de l’aide et après avoir été témoin d’un enseignement. Le deuxième type est celui qui parvient seul à l’éveil mais qui, comme le premier type, n’est pas en mesure d’enseigner. Le troisième type est celui qui parvient à l’éveil par ses propres efforts et qui est en mesure de partager son entendement.
Voilà, il avait vu juste. Mais était-il en mesure de faire comprendre ce qu’il entendait ? Était-ce parce qu’il en était arrivé à la conclusion qu’il lui fallait faire une synthèse de son expérience que le joyau était tombé ou n’était-ce qu’un concours de circonstance ? Tout cela étant, il lui fallait reprendre sa vie en main, reprendre son projet d’étude, reprendre de saines habitudes.

Il s’installa donc dans le soleil qui passait par la porte vitrée du salon pour méditer un peu. Après quelques minutes, comme il se sentait agité, il décida de faire jouer un disque de musique blues. Il se replaça sur son coussin. Après deux chansons de méditation, il décida d’aller chercher son harmonica. Il était heureux et avait envie de jouer de la musique dans ce soleil de printemps qui réchauffait sa tête qui lui était de nouveau libre de toute pression.
Il commença alors à jouer un blues qui transposait toute cette joie qui l’animait. Il avait les yeux fermés et la lumière du soleil lui faisait voir dans sa tête un environnement orangé. C’est alors que la lumière devînt plus claire pour tendre vers le blanc. Il continua à jouer mais ce changement de lumière avait attiré son attention. Il entre-ouvrit les yeux pour les refermer aussitôt. Son attention fut tout de suite attirée par une vision à sa gauche.
Il s’agissait d’une femme magnifique qui brillait d’une lumière jaune dorée de la même texture que la vision de l’arbre qu’il avait vu la veille. Elle portait une espèce de couronne ou plutôt une tiare sur la tête et avais les mains devant elle à la hauteur de sa poitrine. Devant ses mains, il pouvait voir deux rayons de lumière qu’elle essayait de contrôler, d’orienter.

Il posa son attention devant moi et s’y trouva un petit bonhomme à tête d’éléphant. Il jouait de la trompette avec sa trompe. Joseph arrêta donc de jouer de l’harmonica pour le regarder. Il entendit alors sa pensée d’enfant :

- [(Heille...)]
- (Quoi ?)
- [(Joue.)]
- (Haha...ok…)

La femme étendit alors le bras pour toucher le biceps gauche de Joseph. À son contact apparu un bracelet doré. Il regarda ce bracelet et lorsqu’il porta de nouveau son attention vers le petit homme, il avait disparu, de même que la femme.

Joseph ouvrit les yeux. Rien devant lui. Il était seul dans son appartement. Par contre, il savait très bien où il avait vu un tel bracelet. Il était présent sur toutes les statuettes et les peintures du Bouddha, à l’exception que son bracelet était situé sur son bras droit.
Joseph était ébahi. Il se leva pour faire une recherche sur les êtres qu’il venait de recevoir. Il fût beaucoup plus simple qu’il ne le croyait de retrouver ce petit homme à tête d’éléphant.

Il s’agissait de Ganesh, une divinité de l’Inde. Selon l’encyclopédie libre du web, dans l’hindouisme, Ganesh est le dieu qui supprime les obstacles. Il est aussi le dieu de la sagesse, de l’intelligence, de l’éducation et de la prudence, le patron des écoles et des travailleurs du savoir. Reconnaissable à sa tête d'éléphant, il est sans doute le dieu le plus vénéré en Inde et son aura touche même tout le sous-continent indien et l'Asie en général.

Pour ce qui est de la femme, il en déduisit qu’il s’agissait de Pârvatî. Encore ici, l’encyclopédie gratuite avait un article. « Pârvatî est une déesse hindoue. Son nom signifie « femme de la montagne ». Elle est la réincarnation de Sati. Sœur de Vishnou et épouse de Shiva, elle est considérée comme « principe féminin suprême » dans certains cultes tantriques. En tant que shakti de Shiva, elle est à la fois puissance de procréation et de destruction.

- (Shiva…)

Shiva est un dieu hindou, membre de la Trimūrti avec Brahmā et Vishnou. Shiva est quelque fois considéré comme le dieu du yoga et est représenté en tant que yogi qui possède la connaissance universelle, suprême et absolue, voire dans un état « au-delà de la connaissance.

- (La Trimûrti…)

Dans l'hindouisme, la Trimûrti, trois formes en sanskrit, est la partie manifestée de la divinité suprême qui se fait triple pour présider aux différents états de l'univers. Les dieux Brahmâ, Vishnou et Shiva symbolisent respectivement la création, la préservation et la destruction.

- (Vishnou…)

Vishnou est souvent représenté en homme bleu avec une parure royale et quatre bras, tenant généralement une roue, une conque, un lotus et une massue dans les mains. Il porte sur sa tête une tiare dorée, appelée kirita-mukuta. Il est dépeint également se reposant sur le serpent Shesha, un lotus sort alors de son nombril ; Brahma sort lui-même du lotus ; cette scène se reproduit à chaque nouveau grand cycle temporel ou kalpa, période liée à la cosmologie hindoue; Vishnou et Brahma recréent ainsi l'univers.

Selon la tradition, Vishnou s'incarne régulièrement, lorsque le monde est menacé par le chaos. Ses plus célèbres incarnations (avatara) sur Terre sont Rāma et Krishna. Kalkî (« temps ») est une figure apocalyptique. C'est irrémédiablement l'incarnation « à venir ».

Pour la sauvegarde du bien, déclare Krishna, pour la destruction du mal et pour le rétablissement de la loi éternelle, je m'incarne d'âge en âge. » Les enseignements d'un avatar, correctement appréhendés et graduellement mis en pratique par l'humanité, élargissent sa compréhension du sens de la vie et contribuent à son avancement sur le chemin de l'évolution.

La notion d'avatar n'a été pleinement développée que dans la mythologie tardive, mais elle se trouve déjà contenue dans les Upaniṣad. Sous forme personnifiée, le principe ultime, qui a manifesté le monde, s'y incarne à nouveau : « L'ayant façonné, il y entra. »

Le vishnouisme distingue plusieurs types d'avatars, Krishna y étant seul considéré comme un avatar complet de Vishnu en tant que principe ultime. Les autres avatars sont alors décrits comme des incarnations partielles ou des manifestations de certains aspects du divin.

La fonction première de l'avatar est cependant chaque fois la même : rétablir le dharma ou la loi éternelle en instaurant les principes de connaissance appropriés à l'époque à laquelle il se manifeste. À cette fin, l'avatar est parfois assisté de vibhûti ou pouvoirs spéciaux, alors personnifiés sous forme de compagnons qui le soutiennent dans sa tâche.

- (Shiva, principe de destruction...)
- (L’Apocalypse...la trinité...la Trimûrti…)
- (...Qui suis-je ?)
- (...Que suis-je ?)
- (...Et mes ailes ?)

Sébastien Vanier

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Date d'inscription : 03/02/2024

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